L’année 2022 vient de se terminer, et il est donc temps de se poser la question : où investir en 2023?
Savoir où placer son argent n’est en effet pas toujours évident, aussi je vous propose un tour d’horizon de plusieurs types d’investissements très rentables afin de savoir où il est le plus judicieux (à mon sens) de placer son épargne pour 2023.
Ce que nous verrons (entre autres) dans cet article :
- Pourquoi le Livret A est un mauvais placement
- Si vous devez investir dans les obligations en 2023
- Si vous devez investir dans l’immobilier en 2023
- Si vous devez investir dans les actions en 2023
- Si vous devez investir dans les cryptodevises en 2023
C’est parti pour un bref tour d’horizon des avantages et des inconvénients de chacun de ces placements aujourd’hui.
Table des matières
Livret A : Un Mauvais Placement avec le Retour de l’Inflation
Pourquoi commencer cet article en parlant du Livret A, un placement à faible rendement qui rapporte seulement 2% aujourd’hui? Pour deux raisons :
- Tout d’abord il s’agit du placement préféré des français
- Le gouvernement lui a porté un coup fatal (alors qu’il ne rapportait déjà plus beaucoup)

En effet une réforme du Livret A est passée il y a quelques temps, et bien sûr elle ne va pas dans le bon sens pour les épargnants. Il a été annoncé que « le livret A n’aurait plus vocation à couvrir l’inflation« .
Si cette phrase ne vous parle parle pas beaucoup : cela veut dire concrètement que le placement nous fera désormais perdre de l’argent.
Le gouvernement n’est désormais plus tenu de couvrir l’inflation avec ce placement, et son taux actuel est de 2%. Les derniers chiffres de l’inflation se situent autour de 5%. Ce qui veut dire qu’en terme réels nous perdrons en fait de l’argent (environ 3%/an) en le plaçant sur un Livret A!
Alors, quelles sont les alternatives au livret d’épargne préféré des français?
C’est ce que nous allons voir ici.
Investir dans les obligations en 2023 : Des rendements réels négatifs?
Les investisseurs défensifs qui recherchent des taux de rentabilité un peu plus élevés que les produits de banque traditionnels ont souvent l’idée de se tourner vers les obligations et les bons du trésor, ces placements qui paient des coupons réguliers garantis par l’état.
Si investir dans les obligations a historiquement été quelque chose de très profitable et d’assez peu risqué, le problème est qu’aujourd’hui en 2022, les taux de rendement de ces placements sont faibles. Et qu’en plus de cela, il s’agit également d’un placement qui a tendance à très mal de comporter dans les environnements inflationnistes.
Les obligations ont le même problème que le Livret A. Elles paient un rendement fixe, qui, si il est inférieur à l’inflation, vous fera perdre de l’argent sur le long terme. Voyons donc quels sont les rendements des obligations aujourd’hui.


Comme vous pouvez le voir ici, les rendements obligataires ont considérablement remonté depuis l’an dernier, de 1.6 à 3.7% aux États-Unis, et de 0.2% à 2.5% en France.
Le problème ici c’est que les niveaux d’inflation actuels sont d’environ 9% aux États-Unis et d’environ 5% en France, ce qui fait que vos rendements ajustés de l’inflation restent toujours négatifs (notez que si l’inflation devait se calmer en 2023, les nouveaux taux permettront d’obtenir des rémunérations plus attractives).
Cependant, tant que l’inflation reste haute, investir dans des obligations d’état en 2023 vous rendra difficilement riche avec des rendements réels respectifs de -5% aux États-Unis, et de -2.5% en Europe.
Voyons maintenant si nous pouvons obtenir des rendements un peu plus intéressants.
Investir dans l’immobilier en 2023
Les choses ont changé sur le secteur de l’immobilier dernièrement.
Auparavant nous bénéficions de taux d’emprunts bas et de rentabilités assez hautes qui permettaient assez facilement de réaliser des investissements immobiliers attractifs (j’en ai d’ailleurs réalisé plusieurs moi même à cette époque, dont vous pouvez trouver les cas pratiques sur le site).
Aujourd’hui les taux d’emprunt remontent, les conditions se durcissent, et les rentabilités du secteur ont chuté drastiquement par rapport à il y a quelques années (conséquences directes de la hausse des prix), comme nous le verrons dans la suite.
Investir dans l’immobilier locatif : quels rendements aujourd’hui?
Voici un tableau des rentabilités immobilières moyennes par ville aujourd’hui :

(PS : Si vous souhaitez en savoir un peu plus sur les prix, les rentabilités et la situation spécifique du marché immobilier dans votre ville en particulier, n’hésitez pas à utiliser l’outil très utile du site Rendement Locatif )
Comme vous pouvez le voir, les rentabilités ont évolué à la baisse par rapport à il y a quelques années, des villes comme Paris ou Lyon ont perdu plus de 1% de rentabilité, et des villes comme Nice ou Marseille ont perdu plus de 2% de rentabilité brute, par rapport à il y a quelques années.
Ceci est la conséquence de la hausse explosive des prix de ces dernières années (et c’est pour cela que je recommandais d’acheter en 2015/2017, chose que j’ai moi même fait à l’époque, autant que possible).
Aujourd’hui des rentabilités entre 2 et 4% ne me paraissent plus très intéressantes (même si vous pouvez trouver plus avec de la prospection), dans un contexte ou le Livret A paie actuellement 2% « sans risque » (et sans ennuis de locataire).
Et l’opération classique d’emprunter à 1/2% pour financer des biens qui en rapportent 5/6% me parait très difficilement réalisable, par rapport à il y a quelques années. Les choses changent vite en investissement, et il faut parfois pivoter rapidement pour pouvoir saisir les opportunités.
Précisions sur le marché de l’immobilier
Attention toutefois, je tiens à apporter 2 nuances importantes aux chiffres donnés ici :
-Premièrement : les rentabilités annoncées ici sont des rentabilités brutes, c’est à dire qu’elles ne prennent pas en compte les frais associés à l’investissement immobilier locatif (charges courantes, taxes foncières, vacances locatives, etc…), donc dans les faits les rentabilité réelles « nettes nettes » sont en moyenne inférieures à celles de ce tableau.
-Deuxièmement : la bonne nouvelle en revanche, c’est que si vous êtes un bon investisseur, vous pouvez dénicher des biens avec des rentabilités brutes supérieures à celles évoquées dans ce tableau (et ce même si vous êtes dans une ville qui à la base n’a pas une rentabilité exceptionnelle).
Pour vous donner un exemple, la rentabilité brute obtenue sur mes appartements est supérieure de 3% à la moyenne du secteur dans lequel j’investis (et 3% de rentabilité en plus sur des sommes en centaines de milliers d’euros, cela fait une sacré différence).
Les 4 ou 5% que vous voyez ici peuvent donc se transformer en 7 ou 8% si vous savez investir (c’est d’ailleurs la rentabilité que j’ai obtenu sur mon dernier projet de rénovation de studio).
Mais pour cela il faut savoir trouver les bons biens, et mettre en valeur vos appartements (et pour y parvenir sans prendre de risques excessifs, il vaut mieux se former).
Et si vous n’avez pas le temps (ou l’envie) de partir à la chasse aux bonnes affaires, rassurez vous, l’achat d’un bien immobilier n’est pas la seule option que vous avez pour investir dans la pierre.
En fait il en existe plusieurs qui vous permettront de faire fructifier votre épargne sans bouger de chez vous! (que nous allons voir dans le paragraphe suivant).
Investir dans les SCPI : de l’immobilier depuis chez vous!
Les SCPI (Sociétés Civiles de Placement en Immobilier), aussi appelées « pierre-papier » vous permettent d’acheter (simplement et depuis chez vous) des parts de fonds qui se chargeront d’acheter et de gérer de l’immobilier en direct à votre place.

Grâce aux SCPI, fini donc les soucis de recherche de biens et de gestion des locataires : vous déléguez entièrement cela à des professionnels, qui se chargent de le faire à votre place et vous reversent les loyers.
Quels rendements sur les SCPI aujourd’hui?
Maintenant, vous vous demandez peut être combien ce type de placement rapporte? La réponse est variable en fonction du type de fonds dans lequel vous aller investir, mais globalement vous pouvez tabler sur des taux de rentabilité situés entre 4% et 6% par an.

Si vous voulez en savoir un peu plus sur ce type de placement je vous invite à visiter le site Portail SCPI, sur lequel vous trouverez (entre autres) un top 10 des fonds les plus rentables du moment.
(P.S : Et si vous ne savez pas par où commencer dans le monde parfois un peu compliqué des SCPI, vous pouvez également fixer via leur site un rendez-vous avec un conseiller qui se chargera de vous guider (gratuitement) parmi les différents fonds disponibles.)
Investir en crowdfunding immobilier : une alternative à haut rendement
Si les 4 à 7% de rendement proposés par les SCPI ne vous suffisent pas, il existe des solutions alternatives… comme le crowdfunding par exemple.
Les plateformes de crowdfunding en ligne (immobilières et non immobilières) se sont popularisées au cours de ces dernières années.
Sur ces plateformes, des promoteurs lèvent directement des fonds auprès de particuliers pour financer des projets, et vous pourrez trouver des investissements proposant des rentabilités (brutes) de 8 à 10% par an, ce qui est nettement plus élevé que la moyenne.

Attention cependant (vous vous en doutez), ces investissements ne sont pas sans risques et vous devrez prendre le temps d’étudier les dossiers sur lesquels vous souhaitez investir et diversifier vos placements si vous souhaitez consacrer une partie de votre épargne à ces placements à haut rendement.
Les investissements en crowdfunding ont cependant l’inconvénient d’être dans des projets beaucoup plus nichés et d’être beaucoup plus concentrés (et donc plus risqués) que des investissements en SCPI par exemple. Ces risques plus importants sont cependant rémunérés par une rentabilité plus élevée.
Si vous voulez avoir une meilleure idée de comment fonctionne ce genre de placement (et voir quelques exemples plus concrets de projets), je vous invite à visiter (par exemple) le site Homunity.
Investir dans les actions en 2023
Si vous êtes un lecteur régulier du site, vous savez que les actions sont un de mes placements préférés puisqu’il s’agit tout simplement du meilleur investissement à long terme, avec une rentabilité moyenne historique autour des 10% par an.

Cependant, après une année 2020 plutôt chaotique, les marchés boursiers avaient fortement rebondi en 2021, ce qui ne facilitait pas la tâche des investisseurs qui souhaiteraient placer leur argent. Qu’en est-il de 2022?
Marchés actions en 2022 : Où en sommes-nous?
A fin 2022, les marchés actions ont bien corrigé avec des performances négatives sur l’année.

Comme vous pouvez le voir ici, les bourses françaises (CAC) comme américaines (S&P) ont délivré des rendements négatifs sur l’année 2022, et évoluent actuellement sous leurs sommets.
Fait à noter également : les actions françaises ont beaucoup mieux tenu que les actions américaines, avec des performances de seulement -5% au moment où j’écris cet article, contre -15% pour les U.S.
Globalement 2022 a été une année négative sur les actions avec des plus bas annuels à -20 et -25% pour l’Europe et les US ce qui correspond grosso modo au marché baissier « standard ».
Faut-il mettre à profit ce repli pour acheter? Ou 2023 va-t-il être pire?
C’est ce que je vous propose de voir dans le point suivant.
Quels rendements après une chute de 25%?
Voici un tableau présentant les performances moyennes des bourses à 3, 5 et 10 ans après une chute de 25% (telle que celle que nous avons connu cette année) :

Comme vous pouvez le voir, les choses sont parfois pires avant de ne s’améliorer avec un déclin moyen autour des -40% (15 points en dessous du plus bas de 2022).
Cependant, les retours moyens après ces chutes sont tous positifs à 1, 3, 5 et 10 ans, et les rendements proposés sont supérieurs à la moyenne, avec des rendements à 5 ans de +83% et à 10 ans de +214%.
Bien entendu, il s’agit de moyenne (qui peuvent donc s’écarter significativement des chiffres que vous obtiendrez dans la réalité). Mais cela vous dit une chose : en moyenne, acheter quand les bourses ont chuté marche.
Comment investir pour 2023?
La décennie 2010/2020 a fait la part belle aux actions technologiques et aux valeurs de croissance, ce qui a poussé beaucoup d’investisseurs à penser que c’est forcement là qui fallait placer son argent pour avoir de bons rendements en bourse.
Cependant, l’année 2022 a été très mauvaise pour ce type de titres, car comme je l’avais évoqué l’an dernier déjà : les valeurs de croissance richement valorisées ont tendance à très mal se comporter dans les environnements inflationnistes.

En revanche, les titres qui se comportent usuellement très bien dans le type d’environnement économique que nous avons actuellement sont les titres orienté « value« , c’est à dire des titres avec une composante défensive raisonnablement valorisés.
C’est en positionnant mon portefeuille sur ce type de valeurs (et en évitant les techs trop chères) que j’ai personnellement pu naviguer le marché de 2022 sans heurt, et je reste positionné sur cette thématique pour le début de l’année 2023.
(Les actions de rendement et les actions décotées ayant également l’avantage d’offrir un « coussin de protection » contre les marchés baissiers suite aux périodes de surchauffe).

De plus, la correction de cette année a permis aux valorisations de nombreuses actions de se dégonfler, et de retrouver des rendements intéressants en terme de dividendes.
Bien comprendre le type d’environnement dans lequel vous évoluez (et le type d’action dans lequel vous investissez) est la clé pour obtenir de bonnes performances en bourse sur le long terme, aussi n’hésitez pas à bien vous former avant d’envisager d’investir des sommes importantes.
Investir dans les cryptomonnaies en 2023?
Le marché des cryptomonnaies a fortement chuté en 2022, avec un Bitcoin qui a perdu plus de 70% de sa valeur.

Faut-il acheter cette chute? Si beaucoup semblent convaincus que oui, personnellement je suis beaucoup plus dubitatif.
Avec le durcissement des conditions économiques, les cryptos ont été liquidées de concert avec la majorité des actifs spéculatifs en 2022, et si les périodes d’impression monétaire excessive et d’excès de liquidités dans le système sont propices à la hausse de ce genre d’actifs, rien n’est moins sûr maintenant que la période « d’argent facile » est terminée.
Beaucoup d’acteurs du secteur semblent confondre investissement et spéculation, et utiliser des stratégies de gestion des risques pour le moins légères sur leurs positions, tout en faisant un certain amalgame entre prix et valeur (un sujet que j’ai traité plus en détails dans la vidéo suivante, si cela vous intéresse).
Pour conclure donc ici : si vous voulez placer quelques « trades » spéculatifs sur le secteur, rien ne vous en empêche, mais gardez vos positions modestes, et éviter de renforcer vos perdants, car les cryptos ne sont pas des actions avec un cashflow derrière, et rien ne dit qu’elles vont rebondir.
Contrairement à ce dont de nombreux acteurs du marché semblent si convaincus aujourd’hui.
Conclusion
Il y a eu beaucoup de changements depuis fin 2021, avec le retour de l’inflation et la remontée des taux d’intérêts.
Plusieurs années de taux bas et de marché haussier ont poussé les prix de l’immobilier au plus haut, et les conditions d’emprunt s’étant durcies : les acquisitions à bon compte sont plus difficiles que jamais à trouver (et à financer) à mon sens pour les investisseurs.
Avec le retour de l’inflation et les changements de politique des banques centrales, les actions ont quant à elles corrigées de près de 25% en 2022, ce qui a permis de purger une partie des excès (notamment sur les techs), et des valorisations excessives présentes sur certains secteurs.
Le pessimisme reste élevé avec les craintes de ralentissement économique, mais comme le dit Warren Buffett : en bourse, vous voulez achetez de la marchandise de qualité quand les prix sont bas (et non quand tout le monde est euphorique sur les perspectives des actions).
Les actions resteront pour moi la thématique principale d’investissement sur laquelle je vais me concentrer pour le début 2023 (en gardant toujours un œil attentif sur les chiffres de l’inflation, actuellement une variable clé pour tout le reste).
Avec un cours du dollar très élevé, je continue personnellement à privilégier les actions européennes (comme je l’ai fait à fin 2022) pour ce début 2023.
(PS : En espérant que cet article vous aura intéressé, et si vous souhaitez creuser le sujet plus avant et que ce n’est pas déjà fait, n’hésitez pas à laisser votre mail dans le formulaire en haut à droite du site pour recevoir mon guide présentant les 2 méthodes à haut rendement que j’utilise pour investir).
Super article comme d’habitude
Content qu’il t’ait plu, merci pour le retour positif 😉
Il est vachement intéressant
Article hyper interessant !
Merci Yann!
Bonjour,
Où investir en 2018 ? Bonne question. L’immobilier devient très encombré avec chaque blogueur qui vend sa méthode et Monsieur Toulemonde qui s’y lance.
La bourse reste LE bon plan.
Car toutes les grandes banques du monde y place l’argent créé de toute pièce par les organisation méta gouvernementales.
Mais en bourse il faut choisir les bons supports. Et cela, encore peu de gens savent le faire. Et pourtant cela reste très facile à faire.
Et surtout cela fonctionnera toujours.
Ce n’est pas parce qu’une valeur a fortement progressé que la probabilité de chute augmente (ou pas). C’est plus nuancé que cela. Il faut avoir les outils pour analyser les courbes de prix pour le dire.
Bonne continuation.
Bonjour Michel,
Le contexte global de taux bas fait que Mr Tout le monde se lance un peu dans tout en ce moment (cryptos, immobilier et bourse), et c’est logique car personne n’aime placer son argent à 0.75%.
Ceci étant dit il faut évidemment prendre le temps de bien faire les choses, sous peine de connaitre de sévères déconvenues.
Mais pour l’oeil aguerri il existe des opportunités dans tous les secteurs, le tout étant de se former pour savoir les reconnaitre et les différencier des pièges (qui leur ressemblent souvent), et d’éviter les prises de risques excessives ;
Cdt
Bonjour Pierre,
Je vais baser mes investissements sur 3 axes cette année: la bourse, l’immobilier et mon blog.
Concernant la bourse, j’investis via un tracker et pour mon compte titre je manque un peu de formation alors je ne lance pas pour le moment.
Pour l’immobilier, il faut un bon dossier. Même si les taux sont bas, si tu n’a pas de cdi ou de cdd dans la fonction publique, obtenir un prêt va être quasi mission impossible.
Pour investir en obligations y a t il d’autres marchés intéressant à part les usa?
Cordialement
Bonjour Olivier,
Pour les obligations il en existe de pays plus « exotiques » qui sont susceptibles de rapporter plus niveau rendement mais qui sont souvent aussi bien plus risquées que l’Europe ou les US.
Egalement le marché des obligations est difficilement accessible pour les particuliers (sauf en passant par le biais de trackers), donc les obligations dans lesquelles on peut investir sont aussi grandement conditionnées par l’offre de trackers ;
Cdt
Très intéressant votre article. La question de savoir où investir en 2018 se pose de plus en plus par les potentiels investisseurs. Personnellement, pour cette année 2018, j’ai investi dans les crypto monnaies sur le site ecrypto-international. Avec la volatilité du bitcoin, je me suis résigné à faire un placement financier dans cette monnaie. J’ai opté pour le Ripple et Stellar, qui jusqu’à présent, je suis satisfait des gains qu’ils me génèrent. Concernant la bourse, je suis bien tenté d’y investir. Pour le moment, je me limite aux monnaies virtuelles.
Le ripple affiche -80% depuis janvier et le stellar -70%.
Vous êtes sur d’être satisfait des gains générés 🙂 ?
je suis admiratif devant la qualité de votre blog, ça change de ce qu’on à l’habitude de voir.
En parcourant celui-ci, je m’attendais à voir un article traitant du blogging.
Ce serait intéressant d’avoir votre retour après quelques années maintenant, que ce soit en terme de temps, d’avantage, d’inconvénient et aussi l’aspect financier. Vous pourriez aussi donner votre avis sur le marché actuel et sur le business model de la vente de formation.
Vous conseilleriez de se lancer dans le blogging en 2018 ?
Merci d’avance de votre retour.
Bonjour Tom,
Effectivement c’est devenu aussi une partie de mes revenus, mais je ne voulais pas trop m’éparpiller concernant la thématique du site, et essayer de me concentrer sur l’investissement (je note déjà que mes articles immobiliers ont un peu moins de succès que les autres, je pense que les lecteurs viennent principalement sur le site pour mes articles boursiers, du coup j’essaie de me concentrer plus là dessus).
Pour répondre à votre question concernant le blogging : je pense qu’il y a toujours un marché pour la qualité (contrairement à ce que peuvent dire certains), ceci dit si je fais le rapport temps passé à travailler sur le blog / rémunération il n’est pas très bon (du moins par rapport à mes autres activités). De ce point de vue je pense que si le sujet du blog n’est pas une passion personnelle, et que le seul objectif est de gagner l’argent, il est facile de s’arrêter de publier assez vite (je pense que c’est en grande partie ce qui fait que la grande majorité des blogs échouent).
Ceci étant dit pour quelqu’un qui a une passion en particulier je pense que c’est un très bon moyen de créer une source de revenus supplémentaire. Cependant n’écoutez pas les gourous qui vous disent qu’internet = revenus passifs. D’expérience ce ne sont pas des revenus passifs du tout, il s’agirait plutôt d’un second travail (du moins si on souhaite bien faire les choses) ;
Bien Cordialement
Article super intéressant et qui dresse un tableau honnête de la situation actuelle.
Je suis surpris de voir des commentaires de 2017 sur un article intitulé 2019 mais j’imagine que c’est un recyclage 😉
Pour ma part, en 2018, je me suis retiré de la bourse et plongé dans le crowdlending et en ce début 2019, je commence à suivre à nouveau les bourses européennes de près en attendant la fin de la dégringolade et je vais concrétiser mon premier investissement immobilier locatif
Bonne continuation
Bonjour Thibault (et merci pour ce retour positif),
Effectivement concernant la date : pour des raisons de structure du site (et de simplicité), il m’est plus facile de mettre à jour annuellement mon article plutôt que d’en reposter un nouveau chaque année.
Il y a donc des commentaires plus anciens mais le contenu de l’article a bien été mis à jour pour 2019 pour chacun des investissements présentés 😉
Et bien joué pour la rotation stratégique en 2018, c’est important de toujours essayer d’aller vers les investissements qui présentent la meilleure espérance de gain en fonction du contexte global (qui est toujours changeant) ;
Bien Cordialement
Bonjour,
J’ai trouvé votre site vraiment très intéressant, merci de partager toutes ces informations :). Je suis tombé dessus par hasard en cherchant des infos sur les meilleures placements pour cette nouvelle année. Sans surprise, je retiens que les placements boursiers paraissent les plus intéressants, à condition de bien maitriser le sujet.
Dans la mesure ou je suis totalement débutant, quel(s) livre(s) pourriez vous me conseiller pour d’une part m’initier au sujet, contexte etc, mais surtout me permettre d’avoir assez de billes pour me lancer dans ce type d’investissement? J’ai noté « Et si vous en saviez assez pour gagner en bourse » de Peter Lynch et quelques autres, mais j’aimerais votre avis.
Pour info, je suis de formation ingénieure et n’ai strictement aucune notion en placement boursiers.
Bien à vous,
Bonjour Vince (et merci pour le retour positif),
Concernant les livres vous pouvez jeter un œil sur mon article « les 10 meilleurs livres pour investir en bourse » qui vous donnera sûrement plusieurs idées de lecture : https://plus-riche.com/apprendre-bourse-meilleurs-livres
Également si vous êtes motivé et que vous cherchez quelque chose de plus orienté concret et pratique par la suite , il y a aussi la formation vidéo du site : https://plus-riche.com/portefeuille-boursier-qui-rapporte
(Selon vos préférences et le temps que vous avez à y consacrer bien entendu)
En vous souhaitant de bons investissements futurs ;
Cdt
Vince,
Si vous êtes parfait débutant en bourse avec quasiment aucune notion, je vous conseil de commencer par «La bourse pour les nuls» qui est assez bien fait et relativement complet. Ce livre m’a beaucoup appris à mes débuts il y a quelques années.
Bien à vous,
Bonjour,
Voilà j’ai 23 ans et je me suis lancé dans l’investissement, il faut commencer tôt !
J’ai commencé à acheté mon appartement (bien situé) pour ensuite le louer. Puis j’ai ouvert un PEA à indice 4 pour être sur d’un meilleur redement que le livret A.
Puis je commence à investir dans des garages. Je commence par 1 puis je vais voir pour en avoir 3 ou 4 si ça fonctionne bien.
Très bon article ! Ca me rassure sur mes investissement. L’avantage est que je suis dans l’industrie et j’ai fais ma demande pour faire les plateforme pétrolière ce qui rapporte enormément.
As-tu des meilleures conseils sur la bourse ? Quel site utiliser ?
Merci beaucoup de me rassurer avec cet article.
Cordialement.
Bonjour Mehdi,
Merci pour ce retour positif et bravo, c’est un très bon départ! 😉
Cet article pourra sans doute t’aider pour ce qui est de bien débuter en bourse (ainsi que sur le choix du courtier) : https://plus-riche.com/debuter-en-bourse
Bien Cordialement
C’est un article super intéressant, j’ai vraiment hâte de franchir le pas et d’investir.
Merci Clara 😉
Merci pour une mise à jour de cet article.
Je voudrais ajouter quelque chose côté obligations. C’est certains que les les obligations offertes par les grands États comme la France, la plupart des pays européens, le Canada, les USA et tout ça n’offrent pas de super rendement, voir des rendements négatifs. Si quelqu’un souhaite avoir des obligations un peu plus risquées par contre, il peut se lancer dans les obligations municipales (je ne sais pas si une telle chose existe en France par contre). Ici au Québec, les villes peuvent emprunter et pour ce faire émettre des obligations selon des paramètres bien précis. Cela est plus risqué qu’une obligation d’un pays ou d’un province, mais moins qu’une obligation corporative selon moi. Au Québec, aucune municipalité n’a été en défaut de paiment depuis 1921 en fait. Et certaines grandes villes (au Québec, une grande ville, c’est plus de 100 000 habitants) offrent des taux intéressants: Gatineau à 3.8% pour 5 ans, Longueil à 3.25% pour 5 ans également. La seule municipalité que j’éviterais présentement au Québec, c’est Grenville-sur-la-Rouge, menacé d’une poursuite de plusieurs millions, représentant genre 20 fois son budget annuel, par un promoteur minier. Sinon, ben, éviter les villes américaines comme Détroit…
Je pense que les obligations ont, malgré leur faible rendement, souvent leur place dans un portefeuille d’investissement, en fonction du cycle de vie de la personne. Si par exemple on économise pour acheter une maison, ça peut être pratique d’avoir une partie de cette éparge en obligations et en placements à capital garanti, pour éviter comme moi de devoir vendre des actions à perte pour obtenir la mise de fond pour ma maison en 2009. Et une fois à la retraite, on a aussi moins le temps de se refaire en cas de crise, tsé, à 75 ans, la perspective de long-terme est plutôt réduite. Alors, protéger son capital devient important.
Bonjour François,
Merci pour ce complément d’information sur la partie obligataire, ce sont de très bonnes suggestions. J’ai traité de manière assez large chaque classe d’actifs dans cet article récapitulatif, mais il y a effectivement tout un éventail de sous options envisageables pour chacune d’entre elles, en particulier sur les obligations qui sont une classe d’actifs très riche (ceci malgré le fait qu’elles soient globalement moins rentables qu’elles n’ont pu l’être par le passé) ;
Bien Cordialement
Superbe article et plutôt d’accord avec vous sur vos choix d’investissement pour 2020.
Super article merci !
De mon coté je garde un oeil sur le palladium pour 2020…
Très intéressant tour d’horizon. Pourtant, affirmer aujourd’hui que les crypto, notamment BTC et ETH n’ont aucun fondamentaux objectifs me paraît un peu facile. Beaucoup de choses ont changé depuis trois ans, je pense au phénomène de la DeFi. Bien sûr l’environnement crypto reste hautement spéculatif, mais il est possible aujourd’hui de générer des rendements intéressants sans trop de risques. Je crois sincèrement que BTC et ETH, pour ne citer qu’eux, sont là pour rester, et auront à l’avenir de plus en plus d’influence sur la finance de manière générale.
Bonjour Bakisoo,
Pour ce qui est du passage sur la valeur fondamentale, comme le disait Buffet : la valeur intrinsèque d’une cryptomonnaie est la même que celle d’un carnet de chèque (dans le sens où elle n’est pas adossée à un cashflow, ou à un appareil productif dont on peut mesurer la création de valeur).
L’idée derrière cette comparaison n’est pas d’être péjoratif mais de garder à l’esprit que sur ce type d’actif : la valeur est 100% déterminée par le prix que les opérateurs sont prêts à le payer (en ce sens l’or physique est aussi « spéculatif » pour Buffett, car un Lingot d’or ne produit rien, ne génère pas de cashflow, et dépend à 100% de ce que les opérateurs sont prêts à le payer).
En espérant avoir pu apporter quelques éclaircissement ; Cdt
Bonjour,
Article intéressant du 12 décembre 2020, mais des commentaires de x années précédentes… Bizarre non ?
Bonjour Pat,
En effet, cela s’explique par le fait que je garde la trame de mon article afin de le mettre à jour d’une année sur l’autre dans chacune des catégories présentées. Cela m’évite de tout réécrire de mon coté, mais du coup les commentaires des années précédentes restent présents (et par respect pour ceux qui ont pris le temps de les taper, je ne les ai pas effacés 😉 ).
Il faudra peut être néanmoins que j’épure un peu tout cela un jour afin de gagner en lisibilité dans la partie commentaires ; Cdt
Bonjour,
Savez vous s’il existe un risque que Unilever ne soit plus éligible au PEA en cas de no deal s’il vous plaît ?
Je vous remercie.
Bonjour Gael,
Pas mal de questions au sujet du Brexit de mon coté en ce moment, du coup j’ai décidé d’en faire un court article, vous pourrez trouver la réponse ici : https://plus-riche.com/brexit-pea-actions-anglaises ;
Bien Cordialement
Bonjour Pierre,
Très intéressant, comme d’habitude.
Si je peux me permettre, il manque une classe d’actif dans cette liste: les métaux précieux. C’est à mon sens à ne pas laisser de côté, le nouveau gouvernement US semblant partisan (sans trop de surprise) d’une poursuite de l’inflationnisme monétaire et des versements directs aux citoyens, ce qui aura probablement pour conséquence la poursuite du cycle haussier en cours. L’or, cela va sans dire mais va mieux en disant, reste également la meilleure assurance en cas de déflagration monétaire, dont la probabilité d’occurence monte année après année. Ma pondération est d’ailleurs passée de 10 à 15% du patrimoine, en partie grâce à la belle année de hausse que nous avons connue.
Pour les obligations, je pense qu’il ne faut pas se concentrer uniquement sur les taux américains ou européens mais également ouvrir sa vision vers les zones géographiques qui font de la stabilité monétaire une stratégie de conquête des « parts de marché » du flux monétaire mondial. Je pense bien sur à la Chine et aux obligations chinoises.
Enfin, concernant les cryptomonnaies…quelle année avons nous vécue ! J’étais également partisan d’une pondération à 2,5%…sauf que cela est devenu 5 puis 7% après le fantastique rallye en cours depuis les plus bas de fin mars. Je crois à une belle année 2021 pour les cryptos-actifs et la blockchain, le BTC nous ayant habitués à des hausses bien plus conséquentes en post-halving, et l’arrivée d’acteurs majeurs (PayPal, institutionnels, …Blackrock?) plaident pour une forte montée de l’adoption et de la crédibilité de cette classe d’actifs (même si j’espère une bonne correction de 20-30% dans les quelques semaines à venir pour je pas revivre l’emballement de 2017)
Quoi qu’il en soit, la DIVERSIFICATION reste le maitre-mot de cette année à venir. Mon « portefeuille permanent maison » n’a, je pense, pas fini de montrer toutes ses qualités.
Bonne fêtes de fin d’année,
Pierre
Bonjour,
On n’est à l’abri de rien : un krack sur l’or n’est pas improbable quand une partie des institutionnels aura besoin de plus de liquidités pour aller sur du rendement plus intéressant. C’est connu : l’or ne fait, a priori et sur le long terme, pas perdre d’argent mais elle ne rapporte rien (zéro dividende). Et dans la potentielle plus value du cours de l’or il faut tenir compte de l’inflation et des impôts si on revend. L’or brille de milles feu et est rare mais rien de plus.
Il est important de se diversifier et de ne JAMAIS FERMER AUCUNE PORTE. Il faut garder l’esprit ouvert tout le temps.
Bonjour,
En effet pour ce qui est de l’or et des métaux pour du long terme j’ai traité le sujet un peu plus en profondeur dans de précédents articles (entre autres celui-ci : https://plus-riche.com/investir-dans-or et celui ci : https://plus-riche.com/meilleur-placement-long-terme ), j’y explique mon point de vue sur le sujet un peu plus en détails) ;
Bien Cordialement
J’ai découvert ton site aujourd’hui et je dois admettre qu’il est super intéressant. On sent le contenu de qualité. Et pourtant je n’y connais rien en bourse, mais ton approche pédagogique de ce domaine me donne envie de suivre tes conseils pour me lancer tranquillement. Merci pour le temps consacré à tes articles ! Je te tiendrai au courant de ma progression, je pense commencer par les tracker car tu as l’air de dire que c’est pas très compliqué au début et ça me permettra de mieux comprendre de quoi on parle. Bonne continuation !
Bonjour Simon (et merci pour le retour positif!),
En effet, cela peut être une bonne option pour se mettre le pied à l’étrier 😉 ;
Bien Cordialement
Bonjour,
Le variant omicron vient jouer le trouble fête et on ne peut pas dire que la structure tridimensionnelle de sa protéine spike omicron (qui est la cible de TOUS les vaccins actuels) a une tête de porte bonheur … Ainsi va l’évolution. Chaque vaccination – qui se fait de manière extrêmement partielle sur on raisonne d’un point de vue mondial – ne fait qu’exercer une pression de sélection sur le virus et favorise l’apparition de variants. Il faut espérer que l’infectiosité de ces variants diminue peu à peu.
En tout cas, entre la menace de ce variant omicron probablement résistant aux réponses immunitaires actuelles et l’inflation, ça tangue sur les marchés boursiers !
Sinon je me demandais pourquoi il y a plein de commentaires datés d’avant la date de publication de l’article (20 novembre 2021) ?
Merci.
Bonjour Gael,
Je me méfie un peu ces temps ci, car les médias sont aussi les champions des déclarations excessives et catastrophistes! Nous en saurons surement plus dans les semaines qui viennent… (pour les commentaires, comme évoqué au dessus, c’est parce qu’il s’agit d’une mise à jour annuelle d’une même page, du coup les vieux commentaires sont toujours présents!) ; Cdt
Bonjour,
Article intéressant, merci.
Comme l’article est mis à jour tous les ans, je retrouve mon commentaire de l’année dernière..et je crois bien que je pourrai en faire un copier-coller car je vais dire globalement la même chose 🙂
– les métaux précieux sont probablement à considérer pour 2022 après une année 2021 décevante (visiblement du fait de la concurrence de Bitcoin). La configuration graphique peut faire penser que l’or est en train de sortir de sa longue consolidation depuis 2016. Nous verrons bien. Quoi qu’il en soit cela reste une diversification que je pense essentielle en ces temps de fragilité du système financier mondial. Mais chacun son point de vue 🙂
– dommage de ne pas parler des obligations dans d’autres zones monétaires que USD ou EUR. Les obligations chinoises (CYBA) ont pris 8% sur l’année.
– 1-2% dans les crypto-actifs…pourquoi pas. Néanmoins cela reste tout de même une classe d’actifs qui propose des performances incomparables (230%/an en moyenne sur les dix dernières années pour Bitcoin, 600% YTD pour Ethereum, 20 000% YTD pour Solana etc ). Comme précisé dans mon commentaire de l’année dernière j’étais donc investi à 7% de mon patrimoine en cryptos en début d’année 2021. Ce portefeuille est actuellement à 20% malgré des rebalancements réguliers. C’est bien sur trop et je vais de nouveau rebalancer, mais pour ma part et depuis 2020, ce sont les cryptos-actifs qui sont le principal moteur de la performance de mon patrimoine financier global ( toujours en « portefeuille permanent maison ») avec près de 40% pour cette seule année 2021.
Bon WE,
Bonjour Pierre,
En effet théoriquement le contexte actuel n’est pas mauvais pour les métaux, mais ils ont pour le moment échoué à nous gratifier d’un rallye soutenu (qui sait, peut être que 2022 sera enfin leur année, je garde également un œil dessus à toutes fins utiles).
Pour les obligs émerging et hors UE, j’ai tendance à rester local car la majorité des lecteurs du site investissent assez peu en obligs, et assez peu hors Europe. Moi même je ne m’y aventure que rarement, donc je préfère me restreindre à ces 2 secteurs.
Justement, la faible allocation est pensée pour des actifs qui ont ici une volatilité exacerbée par rapport au reste des placements. Les performances passées ne préjugeant pas des perfs futures, il est difficile d’allouer des parts importantes à un actif qui a des drawdowns historiques de 80% tout en restant conservateur (à arbitrer ici bien entendu aussi en fonction des préférences de chacun) ; Cdt
Super intéressant, cet article… C’est vrai que les produits d’investissements classiques bancaires ont une rentabilité tellement basse qu’on est obligés de se tourner vers d’autres solutions.
Moi j’investis dans plusieurs domaines, mais j’ai une préférence pour le crowdlending. Évidemment, le risque est bien plus élevé que sur des instruments classiques, mais ca va de pair avec la rémunération.
Et avec un ticket d’entrée si bas qu’on peut vite diversifier (au sein de cette classe d’actif, bien-sûr).
Les crypto monnaies, je suis d’accord. Moi j’aime bien, mais là on est plus dans l’investissement, plutôt dans la spéculation.